Ulysse a dû s’y perdre et Homère s’y baigner. Premier voyage en bateau, sur un voiler de seize mètres, dans les Cyclades entre Mykonos et Milos. Le skipper était italien. Trois passagères italiennes ; Alena parle italien. J’ai dû faire avec les mains. Et je n’ai pas progressé en grec.
Commentaires closLes voyages de Charles Posts
Escapade sur l’Ile d’Elbe, dans la mer Tyrrhénienne face à charmante Piombino, en Toscane. Napoléon en fût le gouverneur et propriétaire du 4 mai 1814 au 26 février 1815. Il quitta cette position de choix. D’autres seraient restés. Sans doute fit-il le tour de l’île à cheval. Je préfère la mobylette.
Commentaires closTrek de printemps dans les Dolomites, autour de la très cossue Cortina d’Ampezzo. On envisageait du vert, du soleil, des minerais et un grand ciel bleu. Ce fût des nuages, de la pluie, des minerais sous une (très) épaisse couche de neige et au final beaucoup d’efforts ! Balades des Tre Cime de Lavaredo à l’Adolf Munkel Weg.
Commentaires closUn printemps italien épisode#3 dans le sud de la Toscane. Située entre tour, mer et montagne, Pise était ma base. Une virée sur le Promontoire du Mont Argentario et au Parc de Maremma, entre presqu’ile et anciens marécages, une sorte de Camargue italienne parsemée de larges plages, de criques et de moustiques.
Commentaires closUn printemps italien épisode#2 et pour la foi en la Dolce Vita. Située entre tour, mer et montagne, Pise était ma base. Une balade en pays toscan, à l’affut des petits villages haut perchés, de ces paysages vallonnés riches en nuances de verts, piqués de pins, et des termes sauvages.
Écrire un commentaireUn printemps italien épisode#1 et pour ma première excursion à l’étranger post-covid. Située entre tour, mer et montagne, Pise était ma base. Une exclusion d’une journée dans le montagnes au nord de Massa, à l’affut de lacs apuanes, de neige printanière et de Michel-Ange, qui se fournissait ici en marbre dans les carrières de Carrare.
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